En ce mois de Juillet, pleins de livres me viennent dans ma tête...

Mais j'en ai choisie plusieurs, que je lirais avec grand plaisir sachant que je ne lis pas très vite...

Mais bon, ce n'est pas ça qui va me faire reculer justement cela me donne envie de dépasser ce petit défaut !

Comment affronter le destin quand on est une ado comme les autres ?

Que l'on travaille d'arrache-pied pour devenir une sorcière-guérisseuse ?

Que l'on est amoureuse alors que c'est interdit ?

Qu'une terrible malédiction tue précisément TOUS ceux que vous aimez ?

Un Démon majeur, tiré d'un sommeil séculaire, assoiffé de vengeance et de conquête, refait surface trois mille ans après l'Apocalypse qui a anéanti la Terre Arcane.

Dans ce nouvel univers, les arbres ont acquis une conscience, et les humains des pouvoirs singuliers. Ainsi en est-il de treize apprenties sorcières qui ignorent encore que le poids du monde repose sur leurs épaules. Et parmi elles, Louyse... choisie par la destinée pour barrer la route de cette force démoniaque.

"Alors, je la vois.

La Mort...

Deux pas en retrait, elle me contemple de haut.

Dans les orbites creuses de son crâne d'ivoire brillent deux flammes fixées sur moi. Je sais que c'est elle qui a dévoré Esmée, Dame Inga et aussi..."

"Longtemps, je reste prostrée au chevet de Dame Maurey à me remémorer les moments heureux vécus toutes les deux à l'atelier. Elle a été si patiente avec moi. À mon tour de lui témoigner la même constance.

- Je ne vous laisserai pas, Dame Maurey. Prenez le temps qu'il faut, mais ne me lâchez pas. Je vous attends !"

"11 ans-12 ans : Novice 1ère année

12 ans-13 ans : Novice 2e année

13 ans-14 ans : Novice 3e année

14 ans-15 ans : Novice 4e année

SABBAT / Épreuve des Novices

15 ans-16 ans : 5e année Aspirante

GRAND SABBAT / Epreuve des Aspirantes - taux de réussite 85 %.

Réussite au Grand Sabbat = Sorcière RINGSEY !

Trois année d'apprentissage pour fonctionner en symbiose avec la conscience des Ringtree.

16 ans-17 ans : Ringsey 1er Échelon

17 ans-18 ans : Ringsey 2e Échelon

18 ans-19 ans : Ringsey 3e Échelon"

Je viens de terminer L'aura noire le samedi 7 juillet 2018, dans la matinée.

Super roman !! J'ai adorée tout d'abord le concept de la magie, des sorcières... Après j'ai été très attirée par sa magnifique couverture ! Il faut dire qu'elle attire l’œil et que rien qu'elle donne envie de découvrir l'histoire qui se cache derrière. Dès le début, l'auteure nous montre que cet univers est sombre, intriguant et rempli de suspense. Qu'elle n'est pas là pour ménager ses personnages et surtout pas Louyse qui va en voir de toutes les couleurs. On a envie de la prendre sous notre aile, mais surtout de lui révéler ce qui lui arrive. Car oui, nous, lecteurs, savons ce qu'elle vit. Et c'est aussi ça le point fort du roman : l'auteure utilise plusieurs points de vue, qui nous permettent d'encore plus s'immerger dans l'histoire. 

L'Aura noire fut une lecture détente fort plaisante que je conseille à tous les amateurs de sorcières. C'est aussi un bon roman pour aborder le monde de la fantasy !!!!!!

Il existe tant d'objets magiques... mais un seul endroit au monde où les cacher. Poussez la porte de l'extraordinaire Boutique Vif- Argent !

 Finley Mc Phee a 13 ans. Alors qu'il sillonne le village d'Applecross, en Ecosse, pour apporter le courrier aux habitants, il frappe à la porte d'Aiby Lily. Celle-ci lui fait découvrir une boutique d'objets magiques que sa famille s'apprête à rouvrir après deux cents ans de fermeture.

"Pour se rendre à la Boutique des Lily, allez à l'extrême nord de l'île Unie, sur la côte déclinante. Cherchez la maison aux murs flamboyants dans la baie des Oeufs de Pierre, en face des autres îles.
Ne demandez pas de renseignement ou la Boutique se cachera pour se protéger..."

"BOUTEILLE D'ENCRE D'OR
La bouteille d'encre d'or permet d'envoyer en toute sécurité des courriers réservés. L'adresse du destinataire change sur l'enveloppe selon les inclinations et les connaissances géographiques du facteur, afin de rendre la distribution plus rapide."

"ARAIGNEE REPARATRICE
L'araignée réparatrice est le dernier Outil Mécanique conçu par le miniaturiste persan Omar Ich'bin-Kayann. La collection originale comptait 40 automates minuscules, chacun étant instruit dans un art mécanique différent, mais elle fut perdue pendant le sac d'Ali-Baba..."

"MORT QUI PARLE
Le Mort qui parle est une poudre composée pour deux quarts de salnitre, pour un quarts de cristaux de lazzarite et pour un quart de dragonite automnale. Sa formule est due au COMTE DE CAGLIOSTRO, qui l'élabora à l'ombre du VESUVE au XVIIIe siècle. Dispersée en éventail sur la tombe d'une personne , elle permet de rappeler brièvement son esprit (s'il n'a pas été anéanti par d'autres sortilèges) et d'avoir une petite conversation avec lui..."

C'est un livre que j'ai dévoré. C'est exactement le genre de lecture que j'aime. du mystère, un soupçon de magie et un paquet d'aventures. J'ai adoré "écouter" les petites histoires racontés par les habitants d'Applecross au sujet de cette famille. Tout est tellement mystérieux ! 

Il y a aussi beaucoup de mystère autour des personnages. J'ai tout de suite eu envie de lire ce livre à la couverture magnifique! Une vraie belle couverture reliée à l'ancienne avec des illustrations splendides, vraiment. du coup, vous pensez, ce roman je le sentais bien.. super bien même. Et je ne me suis pas trompée ! L'univers magique est passionnant, peuplé de créatures bizarres, de langages étranges et d'objets magiques en tout genre: araignées réparatrices ou tapis volant, il y en a pour tous les goûts !!

Ce soir, Nine, seize ans, n'ira pas à la fête de son lycée. Titania, sa mère, en a décidé autrement. Elle embarque sa fille vers une destination inconnue, une cabane isolée, au bord d'un lac. Il est temps pour elle de lui révéler l'existence d'un passé soigneusement caché. Commence alors une nuit entière de révélations...
Qui sont Octo, Orion et Rose-Aimée ? A qui appartient cette mystérieuse cabane ? Et ce vélo rouge, posé sous l'escalier ? Au fil d'un récit souvent drôle, parfois tragique et bouleversant, Nine découvre un étonnant roman familial. Quand l'aube se lèvera sur le lac, plus rien ne sera comme avant.
Une épopée familiale haletante et jubilatoire, par l'auteur des "Larmes de l'assassin" et de "Tant que nous sommes vivants".

"Toutes les mères de l'univers ont sans doute une vie secrète, des activités à elles, des amis ou des collègues dont elles ne parlent jamais, des rêves enfouis, des soucis qu'elles dissimulent. Des amants, parfois."

"- Personne n'est jamais prêt à entendre la vérité. Je peux te le dire par expérience, il n'y a pas de bon moment pour ça. Il arrive, et on n'y peut rien."

"-Tu t'en sortiras toujours, maman.
Rose-Aimée a pris ma main dans la sienne. Elle l'a serrée très fort et j'ai senti passer, entre elle et moi, comme un courant électrique puissant, une onde chargée d'un incroyable désir de vivre que rien ne pourrait empêcher. Pas même le chômage. Pas même la pauvreté. Pas même la solitude.
- Toi aussi, Conso, m'a dit Rose-Aimée. Quoi qu'il arrive, tu t'en sortiras toujours."

"Bien sûr, Nine a hurlé à cause de la fête du lycée qu'elle va rater. Tant pis. L'heure n'est pas à la fête. L'heure est à la vérité. Et la vérité les attend au bout de ce chemin tout juste praticable."

Grandiose, c'est le mot qui convient ! J'ai eu un énorme coup de coeur pour ce récit familial menée d'une main de maître. Au fur et à mesure que Titania égrène ses souvenirs, trois générations de femmes se racontent. C'est bien écrit, sensible, et un chapitre en appelle forcément un autre : il m'a été impossible de le lâcher une fois commencé !
Nous suivons la grande histoire des années 70-80 et en même temps la petite histoire, celle de Titania et sa famille, leur secret. le tout est mêlé avec douceur et drôlerie. Un vrai beau roman sur la filiation et la quête de soi. J'approuve totalement le premier prix Vendredi. Foncez !
Anne Laure Bondoux a reçu beaucoup de prix comme : le Prix Frissons du Vercors pour son livre : le Destin de Linus Hope en 2000 , le Prix France Télévisions pour le livre : Les larmes de l'assassin en 2004 et bien sûr le Prix Vendredi pour L'aube sera grandiose qu'elle a reçu en 2017 !!

Le mystère s'invite en Écosse, où un énigmatique personnage apparaît la nuit et sème la confusion? Des chèvres disparaissent, et le village d'Applecross accuse son deuxième mort en quelques semaines à peine. Peut-être est-ce la faute de Jules, le facteur fainéant et fou du volant, que Finley évite comme la peste ? Pour démêler cette histoire, Finley devra absolument retrouver la Boussole des rêves ! Avec l'aide de l'intrépide Aiby, de son balourd de frère Doug, et de son fidèle chien Chiffon, il s'embarque dans une nouvelle aventure. Le deuxième tome d'une série débordante d'aventure et de mystère.

"M.Lily se tourna vers Meb, qui sortit de son sac à dos une énorme seringue pour cheval, à l'aspect vraiment menaçant.
-Attendez une minute ! criai-je. J'ai peut-être changé d'avis !
-Finley! s'exclama Doug d'un ton plein de reproches.
-J'ai toujours détesté les piqûres. Tu le sais très bien !
-Mais tu es un arbre !
-Et alors ? Je voudrais vous y voir, vous, même si vous étiez un arbre, devant une seringue comme ça !
Une brise légère se leva à l'horizon, ébouriffant mon feuillage.
-D'accord, d'accord, je plaisantaitout simplement, soupirai-je. Vas - y, Meb, prends ta seringue !"

"M.Lily reprit:
-Nous te laisserons seul, parce que l'Eau des Songes n'a d'effets que si on est seul. Quand on est seul, on rêve. Nous partirons, et lorsque nous reviendrons à l'aube, tout sera arrangé."

"-Tu est fou !
-C'est ce que m'a dit aussi l'Homme Vert. Il a ri, a ramassé ses cartes, sans me montrer ce qu'il avait, lui. Il a siffloté et a conclut : "Elle avait raison, cette chipie d'Adèle, quand elle m'a dit que je ne m'ennuierais pas dans ce village. C'était une belle partie, Finley McPhee, vraiment une belle partie. Ce n'est pas pour cette fois, alors je m'en vais. Mais ne t'inquiète pas, je crois que nous rejouerons."

"Je me frottai les yeux, et commençai à distinguer plus nettement ce qui m'entourait. J'étais dans un salon minuscule aux murs tapissés de livres. Les étagères étaient en bois rouge, de même que le plancher et le plafond, et elles débordaient de volumes multicolores. Les objets les plus disparates étaient disséminés ici et là : un éléphant en cuir avec des boutons à la place des yeux, un petit sac argenté d'où sortaient des bouffées de fumée, un nautile en cristal, un petit soldat de plomb qui marchait d'un pas rythmé d'un bout à l'autre de la librairie, le portrait d'une femme très élégante qui baillait de temps en temps et faisait la grimace."

Super roman !! Très facile à lire étant donné qu'il ne fait que 240 pages...
Ce n'est pas un coup de coeur mais pas il est pas mal quand même :-D
La magie et le mystère sont une fois de plus au rendez-vous et je l'ai dévoré. 
Je me suis beaucoup amusée à apprendre à quoi tous ces objets précieux pouvaient bien servir. J'ai aussi beaucoup aimée les fiches illustrées qui les représentent.
En gros, le tome 3 va se lire en août 2018 !!! 

Discrète, discrète, discrète... Parce que c'est tellement plus facile de fuir le jugement des gens plutôt que de l'affronter en face. Réservée, réservée, réservée... Parce qu'elle se sent tellement mieux en faisant comme si rien ne c'était passé.

Aimée, aimée, aimée... Parce qu'il va entrer dans sa vie, et tout bouleverser tel un jeu de quilles...

Une fille timide peut cacher tellement plus. Il faut juste qu'une personne prenne la peine de le découvrir. 
Sarah Morant n'a que 17 ans quand elle décide de publier son premier roman sur la plateforme d'écriture WATTPAD. C'est ainsi qu'est né TIMIDE, un texte qui a très vite compté plus de 4 millions de vues et conquis une véritable communauté de fans.

"Il n'était pas doué pour réconforter les gens. Encore moins les filles. Les draguer, les complimenter, c'était dans ses cordes... Mais, dés qu'elle se mettaient à chialer, il s'éclipsait en douce et laissait généralement au pot de glace le soin de les consoler."

"On ne naît pas en étant timide.
Soit les autres, et leurs regards, nous mettent mal à l'aise. Peut-être parce qu'on est mal dans sa peau. Peut-être parce qu'on a peur d'être jugé ou qu'on a des complexes. On peut alors surmonter ce fichu trait de caractère qui bousille nos examens oraux. Pour certains, il suffit d'un relooking, d'un régime ou d'une nouvelle coupe de cheveux pour s'accepter et s'ouvrir aux autres. 
Soit on s'est simplement renfermé après avoir affronté un obstacle trop grand... Et il est presque impossible de s'en sortir seul."

"On dit que tout le monde a vécu quelque chose dans sa vie qui l'a changé d'une manière ou d'une autre.
Pour certains, c'était un cancer qu'ils avaient su combattre. Pour d'autres, une addiction dont ils s'étaient débarrassés. Il y en avait même pour qui une simple rencontre avait fait basculer leur quotidien. Mais, pour la majorité des personnes, c'était la perte des êtres chers. Cela les bouleversait au point que, peu importe le nombre d'années qui s'étaient écoulées, ils ne pourraient plus jamais redevenir les mêmes."

"Tu crois que je ne le sais pas ? Que je n'ai pas essayé de changer ? Seulement voilà, quoi que je fasse, je n'y arrive pas ! Je vois leurs regards, je les sens sur moi... Et ça me bloque. J'ai envie de parler, mais ma voix ne sort pas. Je bute sur des mots complètement banals comme un simple bonjour ! Alors, on se moque de moi. Et c'est encore pire. Tu crois que c'est moi qui me suis dit que j'étais timide ? Et ben non, c'est ce que les gens m'ont répété, encore et encore. Jusqu'à ce que je comprenne que c'était vrai, jusqu'à ce que je le croie."

Ce roman est juste sublime ! Déjà dès le début, la couverture me mettait en confiance mais pas plus que ça… Ce sentiment est très bizarre. Suite à une recommandation d’une amie, je me suis lancée dans cette lecture au mois d’août 2018. Le résumé est déjà très intriguant… :

DISCRETE, DISCRETE, DISCRETE… : Parce que c’est tellment plus facile de fuir le jugement des gens plutôt que de l’affronter en face.

RESERVEE, RESERVEE, RESERVEE… : Parce qu’elle se sent tellement mieux en faisant comme si rien ne s’était passé.

AIMEE, AIMEE, AIMEE… : Parce qu’il va entrer dans sa vie, et tout bouleverser tel un jeu de quilles…

Dans cette histoire, on va suivre Eleonore, une fille extrêmement timide. Elle essaye de se cacher, de se faire toute petite, essaye d’acheter des vêtements discrets pour ne pas se faire remarquer. Le regard des autres l’empêche de faire énormément de trucs intéressants vu que, après tout, on n’as qu’une vie, non ? 

Jusqu’au jour de la rentrée, comme d’habitude elle s’installe au fond la classe sans aucun voisin à côté d’elle mais ce jour-là, un beau garçon (un petit nouveau nommé Jason J) s’installe à à ses côtés, et c’est à partir de ce moment-là que nait une petite complicité (au début de l’histoire) grâce à un stylo que Jason aurait demandé à Eleonore et sur le coup de la gêne (vu que c’était la première fois qu’un garçon s’installait à côté d’elle et dans le même jour lui parle !). Du coup, elle lui donne un crayon mais ne lui donne même pas le temps de l’observer (le crayon J) que Jason à côté d’elle pouffa de rire et c’est à partir de ce moment là, qu’elle envisage enfin de le regarder et s’étonna elle-même de l’avoir donner son crayon Hello Kity, (son crayon préférée de collège !) soudain son cœur rata un battement et elle devenu toute rouge !

Dans ce roman, on suit plusieurs points de vue : celui d’Eleonore bien sûr (la personnage principale), celui de Jason et… un personage qui va s’infiltrer au cours de l’histoire dans la vie de Eleonore.

Au milieu du livre, à peu près, j’en ai eu les larmes aux yeux (les lecteurs qui l’ont lu, comprenne sûrement où je veux en venir…

Ce roman traite différents sentiments comme l’amour plus principalement, mais aussi la trahison, la tristesse et j’en passe…

Je conseille ce roman au ados qui ont à partir de 12 ans, je pense mais à certains passages, il faut quand même une certaine maturité.

L’autrice à 17 ans, quand elle décide d’écrire ce livre ! Bravo, car à 17 ans, elle a fait preuve de quand même beaucoup d’originalité.

Sa plume était parfaite : elle donnait des détails mais pas trop non plus (si vous voyez où je veux en venir).

Les colocs (de la même autrice) je pense va être lu dans les mois suivants, mais vu la grandeur de ma PAL, je ne sais vraiment pas si je le lirais en 2018 sachant aussi que je ne l’ai pas sous la main.

"Cependant, certaines choses ne se produisent pas quand on les guette. Vous pouvez rester toute une vie planté devant la casserole, jamais vous ne verrez l'eau bouillir, encore moins le lait. D'un autre côté, vous pouvez être sûr que si vous tournez, le lait ne va pas tarder à déborder et à éteindre les flammes (avec l'eau, au moins, on ne risque rien). Walden savait donc que s'il scrutait la porte, s'il avait la faiblesse de la supplier de s'ouvrir, elle demeurerait close pour l'éternité, en supposant qu'il ait la patience de la contempler aussi longtemps. En revanche, s'il feignait de l'ignorer, ce qu'il espérait tant ne manquerait pas de s'y produire, et probablement au moment où il s'y attendrait le moins, au moment où il parviendrait enfin à penser à autre chose."

"Face à lui s'étendait un monde de lacs, de rivières, de rapides, de cascades et de torrents, de rochers, de falaises, de chutes. Le spectacle était d'une beauté insensée sous le ciel violacé aux franges de pourpres et de roses qui n'allait pas tarder à tenir les promesses du matin."

"En vérité, ce silence n'était pas complet. Les morceaux de bois que le feu n'avait pas encore réduits en cendres émettaient de temps à autre des craquements ou de brefs bouillonnements de sève. Les rondins qui composaient les murs semblaient eux-mêmes animés d'une vie propre et Walden avait parfois l'impression de percevoir leurs soupirs."

"Alors, il ne faut jamais croire qu'on a traversé le pire. On se l'imagine parfois mais c'est seulement parce qu'on ne connaît pas encore la suite."

Je ne sais pas trop quoi vous dire mais j’ai aussi trop de choses à vous dire, pour être honnête…

Entre rebondissements et retournements de situations, le suspens s’intensifie brillamment jusqu’au dénouement de l’histoire. Pour tout vous dire, ce roman est mon premier thriller et franchement, je ne suis pas du tout déçue de ma première expérience ! La couverture est très jolie : au centre, un sorte « d’écorce » auquel sont gravés ces quelques mots : douze ans, sept mois et 11 jours. En arrière plans, une cabane et à côté des arbres (ce qui correspond sûrement à la cabane de Walden et la forêt du Maine, pour ceux qui ont lu le livre). Je trouve que la couverture correspond à l’histoire (ça peut paraître évident, mais j’ai déjà lu des livres avec des couvertures totalement différents de l’histoire !). Bref, je vous laisse lire le résumé :

Une cabane perdue dans les forêts du Maine. C'est là que Walden est abandonné par son père. À partir de maintenant, le garçon doit se débrouiller pour survivre dans les bois. Avec une seule réserve de conserves, un livre de Thoreau et une carabine. À la fin de la journée, Walden note son âge sur une écorce de rondin. Douze ans, sept mois et quatre jours, au moment où commence son apprentissage pour le moins étrange ...

Dans ce thriller, il y a 2 parties : une partie qui s’intitule Walden et l’autre Jack (père-fils).

J’ai lu ce roman en 1 semaine (vu que j’étais en vacance ce n’est pas une très belle réussite), mais au fil des pages, je n’avais pas envie d’abandonner ce livre, j’avais envie de savoir comment ça se finit (surtout quand ces un thriller...).

Bref, super roman, il y avait quand même du vocabulaire un peu compliqué où je n’ai pas bien compris certaines phrases mais ce ne m’as pas empêchée de comprendre l’histoire :  je le conseille pour des lecteurs qui n’ont jamais lu de thriller avant vu qu’il n’est vraiment pas violent !!  Mais je le conseille aussi pour des lecteurs qui ont déjà lu du thriller !!

Dans un Londres post-apocalyptique, quatre adolescents partent en quête d'une mystérieuse relique très puissante, sur laquelle repose l'avenir de l'humanité. Ils ont six jours pour combattre les forces du mal...

Le compte à rebours est lancé...

"Puis, alors que je fixe cet océan noir, la Terre entre en tournoyant dans mon champ de vision. Sphère ardente d'un feu bleuté. Le ciel, la terre et les mers tourbillonnent en arc de cercle, chatoiement de bandes orageuses tournant dans l'obscurité."

"Voir Peyto dans cet état me rappelle ma propre mère. Je me souviens de ce que j'ai ressenti quand elle morte. On se replie sur soi, on se recroqueville, mais dans sa tête, on se laisse emporter dans des rêveries, parmi des souvenirs, à la recherche de ce visage qu'on sait qu'on ne reverra. Et quand on retrouve ses esprits, on est un poil plus vieux, un poil plus endurci."

" « Cass Westerby, j’ai tenu ta mère dans mes bras quand elle est tombée. »

Sa voie résonne en écho dans mon casque. Je n’en respire plus.

« Elle a accepté de mourir. C’est rare. »"

"Je suis complètement cassée d'avoir couru, alors je reprends mon souffle une minute, en observant la tour solitaire. Et elle me fait une drôle d'impression, dressée au-dessus de moi dans le smog couleur tilleul, prise dans les projecteurs du fleuve, à la fois flippante et de toute beauté."

J’ai bien aimée ce roman. Ce livre était un peu compliqué à mon goût. L’auteur a utilisé certains mots un peu compliqué mais au fil de l’histoire, c’est mots deviennent compréhensible.

Ces un roman qui parle principalement de science-fiction, d’apocalypse, de planètes, bref un monde futuriste.

On parle ici, dans Londres post-apocalyptique, un Londres ravagé !

La couverture est assez belle : des projecteurs mettent en avant Big-Ben « tout cassé », et au milieu, les personnages principaux, je pense.

On va suivre, dans ce roman, Cass qui aident les habitants de la ville de Londres a trouvé un certain ARTEFACT qui se serait caché dans Londres et qui renferme des extraordinaire pouvoirs...

Mais, un jour, alors qu’elle excavait (fouillait) un endroit de la ville, son petit-frère disparut...

On plonge dans l’histoire sans même savoir à quoi ressemble l’artefact telle est la décision de l’auteur...

On plonge... comme ça... dans l’histoire..., un peu glauque au début, je le l’avoue vu que je ne savait pas à quoi m’attendre car le résumé, n’en disait trop rien sur le cadre, les événements, les ennemis de l’histoire.

Vraiment, j’ai adorée l’histoire mais il manquait quelque chose et c’est ça, je pense, qui m’a déçu dans l’histoire, ce roman n’est pas parfait...

La plume de l’auteur manque de fluidité, j’ai pris beaucoup de temps à lire ce livre car la science-fiction est tout à fait contraire d’un roman feel-good (si vous voyez où je veux en venir...)

Le résumé est très court et simple :

Dans un Londres post-apocalyptique, quatre adolescents partent en quête d'une mystérieuse relique très puissante, sur laquelle repose l'avenir de l'humanité. Ils ont six jours pour combattre les forces du mal...

Le compte à rebours est lancé...

Le résumé ne dit trop rien sur l’histoire, au début du roman, on s’est juste qu’on est à Londres et il va y avoir une histoire où sûrement, après six jours, il va se passer quelque chose d’important, un truc de ce genre.

Cass est une jeune fille très courageuse et perspicace. Je l'ai vraiment bien aimé. Nous sommes d'ailleurs dans la tête de Cass, puisque l'auteur parle en son nom.

Voilà, super livre, je le suggère aux adolescents mais avant de le lire je préviens direct : il faut vous accrocher...

Une correspondance par Post-it sur le frigo entre une mère et sa fille. Chaque jour, elles se parlent par messages interposés, de la simple note jetée pour rappeler de ne pas oublier d'acheter le lait au message personnel et intime. Lorsque la mère tombe gravement malade, le temps presse mais l'espoir demeure jusqu'à la fin.

"C'est gentil de me dire que je suis belle. Je ne me sens vraiment pas belle. C'est comme si j'étais sous l'eau et que je ne trouvais plus comment remonter à la surface. Je suis un peu perdue, c'est tout. Je ne veux pas que tu t'inquiètes pour moi."

"Le pire en entrant ici, c'est quand j'ai cherché un mot de toi sur la porte du frigo et qu'il n'y en avait pas. La porte était toute blanche et vide. J'ai pleuré pendant une éternité."

"Je crois que je vais te laisser cette lettre ici. Dans cette cuisine vide. Pour que tu sache, si tu reviens, que je t'aime et que tu me manque. Je t'en prie, ne t'inquiète pas pour moi."

"Quand je te regarde Je vois la femme que je veux être Forte et courageuse Belle et libre Claire P.S. : Je t'aime"

Attention !! Alerte Coup de Cœur !!

J’ai tout simplement eu un énorme coup de cœur envers ce magnifique roman !!

J’ai même versée une petite larme à la fin...

La plume de l’auteure est tellement émouvante et sensible à la fois, on ne peut pas ressortir indemne de ce livre !

Tout d’abord, parlons de la forme du roman : il ne se compose que de post-it collés sur un réfrigérateur, composé de plein de petits mots échangés entre une mère et sa fille. Au delà des listes de courses, des demandes d'argent de poche, on sent tout l'amour et ce lien très fort qui les unit. Elles ne font que se croiser : la mère étant pris avec son boulot et la fille avec ses amis et le lycée.

Le résumé m’a direct fait quelque chose :

Maman, je suis allée au supermarché. Regarde dans le frigo. J'ai arrosé les plantes. J'ai nettoyé la cage de Jeannot Lapin. J'ai rangé le salon. Et la cuisine. Et j'ai fait la vaisselle aussi. Je vais me coucher. Ton esclave à domicile, Claire. Une correspondance par Post-it sur le frigo entre une mère et sa fille. Lorsque la mère tombe malade, le temps presse mais l'espoir demeure. Un livre comme un trésor qui chuchote à l'oreille l'importance de ceux qu'on aime...

Finalement, peu de mots et beaucoup d’émotion, je le recommande vivement à tous ! 

https://www.livraddict.com/biblio/livre/ne-t-inquiete-pas-pour-moi.html

Un matin, alors qu'elle se rend au lycée, Naho reçoit une drôle de lettre… une lettre du futur ! La jeune femme qu'elle est devenue dix ans plus tard, rongée par de nombreux remords, souhaite aider celle qu'elle était autrefois à ne pas faire les mêmes erreurs qu'elle. Aussi, elle a décrit, dans un long courrier, les évènements qui vont se dérouler dans la vie de Naho lors des prochains mois, lui indiquant même comment elle doit se comporter. Mais Naho, a bien du mal à y croire, à cette histoire… Et de toute façon, elle manque bien trop d'assurance en elle pour suivre certaines directives indiquées dans ce curieux courrier. Pour le moment, la seule chose dont elle est sûre, c'est que Kakeru, le nouvel élève de la classe, ne la laisse pas indifférent…

"Si seulement j’avais pu faire ça à ce moment-là. En général, c’est ce qu’on se dit quand on repense à ses erreurs du passé. Avec le temps et le recul, ça parait si facile. Mais dans a réalité de l’instant présent, ce n’est pas si facile."

"En nous quittant, c'était un comme s'il avait abandonné toutes les promesses qu'il m'avait faites, qu'il nous avait faites.
Mais la chose qu'on regrette le plus.
C'est qu'on aurait pu le sauver."

"[Naho] Je n'ai rien pu avaler de la journée. Mon coeur est en miettes.
J'ai juste bu le jus qui trainait dans mon sac, celui que m'a offert Kakeru.
(larmes)
Le jus d'orange...
il était sucré et acide à la fois.
Son goût était amer, comme le chagrin ..."

Un premier tome très sympathique ! L'histoire est classique, mais le "voyage dans le temps" apporte une vent de fraîcheur et les personnages sont adorables. Le trait est vraiment très chouette, très net et sans trop de fioritures. Vivement la suite !

Très, très bonne lecture, ce manga est émouvant à certains passages...

On commence la lecture tranquille et tout et tout... et là... on plonge direct dans le vif du sujet dès les premières pages ! Ça ne m’a pas du tout dérangée pour autant !

Il n’y a pas grand-chose à dire vu que c’est un manga.

Le résumé m’a beaucoup interpellé et c’est pour ça que j’ai commencée à le lire mais au dépar, je me me disais que c’est bon c’a va être juste une petite histoire qui ne prend pas la tête mais en fait, petit à petit, on se rend comte qu’on s’attache aux personnages et on veut plus les lâchés.

Cependant, j'attends de lire les suivants pour me faire une idée plus précise. Mais je dois dire que ce manga a piqué ma curiosité et c'est donc un bon début.

Dans l’édition (Akata) où j’ai lu ce manga, il proposait à la fin, une autre petite histoire avec des sœurs jumelles et ça m’a vraiment beaucoup plus !

Cette histoire nous parle, on a tous des regrets plus ou moins intenses, des drames ou des petites histoires dérangeantes qu'on aurait pu éviter, ou des choses que l'on aurait aimé dire et que le temps ne nous permet plus de faire.

Les dessins sont très réussis, on perçoit bien les émotions des différents personnages.

Je conseille ce manga aux ados de plus de 12 ans, et bien sûr même aux adultes !! 

Quand, à la mort de ses parents, Lewis va habiter chez son oncle Jonathan, il s’attend à rencontrer quelqu’un d’ordinaire. Mais Oncle Jonathan et sa voisine, Mme Zimmermann, sont tous les deux des magiciens ! Lewis est ravi… au début. Puis il se met lui-même à faire de la magie et il ressuscite par mégarde l’ancienne propriétaire de la maison, Serenna Izard. Or Serenna et son mari ont autrefois caché dans les murs de la maison une horloge, une horloge qui a le pouvoir d’anéantir l’Humanité tout entière… Et seuls les Barnavelt peuvent l’arrêter.

"Lewis plaignait le pauvre duc. La veille au soir, quand il lisait dans son lit le livre de John L.Stoddart, il aurait aimé commander un robuste galion anglais et lâcher bordée après bordée sur le vaisseau amiral jusqu'à ce qu'il coule."

"Il s'interrompit. Accroupi à côté de lui, Tarby lui avait saisi le bras et le serrait très fort. On entendait un bruit venant du fond du tombeau. BAOUM ! Un son grave et caverneux. Les portes métalliques bringuebalèrent, comme si on leur avait donné un coup de l'intérieur. La chaîne cliqueta et on entendit un bruit métallique sur la dalle. Le cadenas était tombé."

"Partout dans la maison, la canne avait émis une lumière pâle et régulière. Mais, dès les premiers mots de Mme Izard, elle s'éteignit comme une ampoule grillée."

"Alors, tout était vrai. Cette femme était sa femme, et elle était sortit de sa tombe pour... pour faire quoi ? Lewis sentit son cœur cogner dans sa poitrine."

J’ai bien aimée ce roman de John Bellairs sous le nom originale de The House with a Clock in its Walls : House veut dire maison mais dans le titre version française, il n’y a pas de mots maison... Ça doit être l’anglais...

Ce roman est aussi paru sous le nom de : La Pendule d’Halloween aux éditions du Rocher

Bravo à Nathan Collins pour les magnifiques illustrations qui illustrent bien l’histoire (logique !) ! 

Ce que je n’ai pas aimée, dans ce roman, c’est que : on sait que Lewis Barnavelt a perdu ces parents dans un accident de voiture mais l’auteur ne montre aucun signe de tristesse envers Lewis qui, en temps réel doit sûrement être « au bout de sa vie » !!

Ce petit détail mais un peu déçue...

Ce que j’ai tout de même apprécié c’est que au tout début de l’histoire on connait un Lewis timide, fragile mais plus un tourne les pages plus on découvre un Lewis fort et courageux et c’est ça que j’ai bien aimée !!

Le livre est un petit trop jeunesse à mon goût mais la version cinématographique est superbe : une touche de tristesse, une petite touche d’angoisse + un petite touche un peu flippante !

J’ai préférée le film au roman mais ce n’est tout de même pas tout à fait la même chose alors je ne peux pas trop jugée certains moments !!

Je conseille le livre aux enfants qui ont à partir de 8, 9 ans mais le film, je le conseille aux enfants qui ont plus de 10 ans !!

Fervente lectrice, passionnée d'escrime, Gianna a perdu sa mère à l'âge de quatre ans. Elle visite pour la première foisl'Athenæum, l'une des plus anciennes bibliothèques de Boston, accompagnée de ses deux meilleurs amis, quand elle remarque le comportement étrange d'un mystérieux jeune homme. L'inconnu finit même par se volatiliser presque sous ses yeux, penché sur un volume des Plus Belles Bibliothèques du monde. Lorsque Gia s'approche à son tour de l'ouvrage, elle se retrouve transportée de l'autre côté du globe, à Paris, dans une magnifique salle de lecture dont une bête menaçante arpente les rayons,comme elle ne tarde pas à le réaliser avec un frisson...

La jeune fille vient de mettre le doigt dans un terrible engrenage : une poignée de bibliothèques anciennes mène en effet vers un monde où magiciens, sorcières et créatures surnaturelles s'affrontent depuis des siècles pour éviter que le peuple des hommes ne découvre leur existence. Gia apprend qu'elle est l'une des Sentinelles chargées de protéger cette société secrète. Pire encore, qu'elle est la fille de deux de ces guerriers d'exception– une union interdite– et que sa naissance n'est autre que le présage de la fin du monde. Une malédiction qui lui interdit absolument de se rapprocher d'Arik, l'inconnu aux yeux noirs de l'Athenæum...